Key testimony: He took responsibility for the messages advising the Titanic and Carpathia wireless operators to keep quiet so they could sell their exclusives to the press. In contentious questioning, Senator Smith hammered away at the Marconi role in checkbook journalism. But though Smith recalled Marconi as well as the two operators to testify again on this day, he did not summon any representative of The New York Times. BR>

. . . SENATOR SMITH: I will come right to the point and ask you whether the following message, which was intercepted by the chief wireless operator, J. R. Simpson, chief electrician United States Navy, is familiar to you:

To Marconi officer, Carpathia and Titanic:
Arranged for your exclusive story for dollars in four figures. Mr. Marconi agreeing. Say nothing until you see me. Where are you now?

MR. SAMMIS: I only know about that exact message from what I have read in the newspapers.
If you will allow me, I will describe this unpleasant business, because it is unpleasant, as it has brought upon me a country-wide publicity that I little desire, and has pointed the finger of scorn at me by my neighbors, simply because in their estimation, either intentionally or otherwise, the date and time of these messages, when they were first published, at any rate, were not disclosed.

Témoignage clé : Il a pris la responsabilité des messages conseillant les opérateurs radio du Titanic et du Carpathia de garder le silence afin qu’ils puissent vendre leurs exclusivités à la presse. Dans des questions litigieuses, le sénateur Smith a martelé le rôle de Marconi dans le scoop journalistique. Mais si Smith a rappelé Marconi ainsi que les deux opérateurs de témoigner à nouveau ce jour-là, il n’a convoqué aucun représentant du New York Times.

. . . LE SENATEUR SMITH: J’irai droit au but et je vous demanderai si le message suivant, qui a été intercepté par le chef opérateur sans fil, J. R. Simpson, chef électricien de la marine américaine, vous est familier :

À l’officier Marconi, Carpathia et Titanic :
Arrangé pour votre histoire exclusive pour les dollars à quatre chiffres. M. Marconi est d’accord. Ne dites rien jusqu’à ce que vous me voyiez. Où en êtes-vous maintenant?

M. SAMMIS : Je ne connais ce message que d’après ce que j’ai lu dans les journaux.
Si vous me le permettez, je décrirai cette affaire de désagréable, parce qu’elle est désagréable, car elle m’a apporté une publicité à l’échelle du pays que je désire peu, et a pointé du doigt le mépris à mon égard de mes voisins, simplement parce que dans leur estime, soit intentionnellement, soit autrement, la date et l’heure auxquelles ces messages ont été publiés pour la première fois, en tout cas, n’ont pas été divulgués.